
УРА! КАНИКУЛЫ!
Безопасные каникулы – на пользу!
С 1 июня - по 31 августа 2020 года в период летних каникул режим работы школы:09.00 – 20.00 – Понедельник-Пятница
09.00 – 18.00 - Суббота
В рамках летних каникул осуществляет работу:- школьный оздоровительный лагерь дневного пребывания «Юный патриот» с 08.06.2020 по 01.07.2020 года.
Режим работы о/л «Юный патриот» - 08.00-17.00 (пн – пт); работа дежурной группы 07.30 – 8.00, 17.00-18.00 (пн.– пт.);
- лагерь труда и отдыха дневного пребывания «Лидер»
с 08.06.2020 года по 01.07.2020 года.
Режим работы ЛТО «Лидер» - 08.30 – 16.30 (пн - пт).
Безопасное веселое лето - вместе со школой!
В период летних каникул школа предлагает всем учащимся посетить:-IT –Room (каб.303) (пн.-пт. - 09.00-20.00; сб - 09.00-14.00);
-игровую комнату и видеосалон (пн.-пт. - 09.00-18.00; сб – 09.00-14.00)
-спортивный зал/спортивную площадку и игровую площадку (пн.-пт. 09.00- 20.00; сб – 14.00-18.00);
-библиотеку (пн.-пт. – 08.30 – 17.00) (3-я среда месяца – сан.день)
В период летних каникул осуществляет работу- консультационный пункт социально-педагогической и психологической службы: для учащихся (вт. - 14.00-15.00), для родителей (чт. – 18.00-19.00), для педагогов школы (пт. – 14.00-15.00);
- разновозрастной отряд «Подросток» (с 01.07.-31.08.,вт.- 17.00-18.00);
- коммуникативная площадка «Диалог» (июнь- август, пн.10.00-11.00);
- комната психологической разгрузки «RELAX» (с 23.07.2020 по 31.08.2020 , чт.14.00.-15.00);
- «Школьный кинотеатр» (июнь-август - вт, чт.13.00-15.00);
- Караоке-клуб «Молодые голоса Могилева» (июнь - август, пт.15.30-16.30);
- Театр-форум «Маска» с элементами медиации (июнь- пн.12.00-13.00, июль-август, ср.12.00-13.00);
- Квест-маршрут «Искатели» (июнь- ср.15.00-16.00, июль-август – чт.15.00-16.00)
Также, в период летних каникул, в рамках летней занятости, организована работа онлайн - площадки «Каникулы вместе!» с размещением мероприятий на сайте школы.Веселых и безопасных каникул!
№ 1
I. 1. Lisez l’extrait de la nouvelle et dites en 2—3 phrases quel est son sujet.
Deux amis
C’était pendant la guerre franco-prussienne. Paris était bloqué, affamé et râlant. On mangeait n’importe quoi.
Comme il se promenait tristement par un clair matin de janvier le long du boulevard extérieur, M. Morissot s’arrêta net devant un confrère qu’il reconnut pour un ami. C’était M. Sauvage, une connaissance du bord de l’eau. Chaque dimanche, avant la guerre, Morissot descendait à Colombes, puis gagnait à pied l’île Marante. Il y pêchait jusqu’à la nuit. Chaque dimanche, il rencontrait là M. Sauvage, autre pêcheur fanatique.
Dès qu’ils se furent reconnus, ils se serrèrent les mains énergiquement, tout émus de se retrouver. Ils se mirent à marcher côte à côte, rêveurs et tristes. Il faisait doux. M. Sauvage s’arrêta: «Si on y allait?»
— Où ça?
— À la pêche, donc. À notre île. Je connais le colonel Dumoulin; on nous laissera passer facilement.
Une heure après, ils marchaient côte à côte sur la grand’route. Le colonel sourit de leur demande et consentit à leur fantaisie. Ils se remirent en marche, munis d’un laisser-passer. Bientôt ils franchirent les avant-postes, traversèrent Colombes abandonné, et se trouvèrent au bord des petits champs de vigne qui descendent vers la Seine. Il était environ onze heures.
Ils étaient bien seuls, tout seuls. Ils se rassurèrent et se mirent à pêcher. En face d’eux l’île Marante abandonnée les cachait à l’autre berge. M. Sauvage prit le premier goujon1, Morissot attrapa le second. Et une joie délicieuse les pénétrait, cette joie qui vous saisit quand on retrouve un plaisir aimé dont on est privé depuis longtemps. Ils n’écoutaient plus rien; ils ne pensaient plus à rien; ils ignoraient le reste du monde; ils pêchaient.
Mais ils tressaillirent, sentant qu’on venait de marcher derrière eux. Ayant tourné les yeux, ils aperçurent, debout contre leurs épaules, quatre grands hommes armés, coiffés de casquettes plates, les tenant en joue au bout de leurs fusils. Un homme leur demanda, en excellent français: «Eh bien, messieurs, avez-vous fait bonne pêche? Eh! je vois que ça n’allait pas mal. Mais il s’agit d’autre chose. Pour moi, vous êtes deux espions envoyés pour me guetter2. Vous faisiez semblant de pêcher, afin de mieux dissimuler vos projets. Vous êtes tombés entre mes mains, tant pis pour vous; c’est la guerre.»
D’après Guy de Maupassant, Deux amis
1 goujon (m) — petit poisson qui vit dans les eaux douces d’Europe
2 guetter — observer
2. Où et comment M. Morissot a-t-il fait connaissance avec M. Sauvage? Trouvez la réponse et lisez-la à haute voix.
3. Pourquoi n’allaient-ils plus à la pêche?
4. Pour qui les Prussiens ont-ils pris les deux amis?
II. Écoutez l’enregistrement «Un miroir qui montre le futur» et répondez aux questions:
1. Que peut-on voir dans ce miroir magique?
2. Quelle information collectent les capteurs?
3. Quel est le but de cette invention?
III. Parlons du logement.
№ 2
I. 1. Lisez l’article et dites en 2 ou 3 phrases quel est son sujet.
Ceux qui disent non à Wikipédia
Il y a quelques mois, la bibliothécaire d’une école des États-Unis plaçait dans la salle d’ordinateurs le panneau Dites juste NON à Wikipédia». Le mouvement de la bibliothécaire a été suivi dans d’autres établissements qui, à leur tour, ont décidé de bloquer l’accès à l’encyclopédie en ligne depuis leurs ordinateurs. Tara Brabazon, professeur britannique, a relancé le débat en interdisant à ses étudiants l’utilisation de sites comme Google et Wikipédia.
Cette réaction est basée sur trois critiques. La première est que l’encyclopédie en ligne n’est pas assez exacte car elle contient des erreurs et que tout le monde peut y écrire. La seconde, beaucoup d’élèves l’utilisent comme première (et souvent même unique) source. Et la troisième, que Wikipédia est trop facilement accessible et utilisable (et donc recopiable). Beaucoup de professeurs se plaignent que par paresse, les élèves et les étudiants se contentent de regarder les premiers résultats qu’ils trouvent sur Google et qu’ils copient ensuite ce qu’ils viennent de trouver dans l’encyclopédie en ligne, sans plus.
Mais, interdire, est-ce une réponse efficace? Techniquement, il est évident que non car les élèves peuvent toujours accéder à ce site de chez eux ou de partout ailleurs. Ensuite, interdire quelque chose aux jeunes ne peut que leur donner encore plus d’envie de l’utiliser.
Plus généralement, faut-il, dans les écoles, apprendre aux jeunes de «lire» l’Internet? «Naturellement, répond Olivier Ertzscheid. Mais est-il possible de programmer un cours pareil qui aille de la maternelle à l’université?» Tara Brabazon n’est pas contre l’apprentissage systématique de la lecture d’Internet mais avant l’université. «Je ne pense pas que les étudiants viennent à l’université pour apprendre à utiliser Google ou Wikipédia.»
Interdire des sites Internet sous prétexte que «les étudiants n’utilisent pas assez leur propre cerveau», c’est une excuse plutôt bon marché. On en a vu d’autres, plus constructives et efficaces.
D’après www.liberation.fr
2. Pourquoi certains professeurs interdisent-ils d’utiliser Wikipédia à leurs élèves? Trouvez la réponse dans le texte et lisez-la à haute voix.
3. Est-ce facile d’interdire d’utiliser Wikipédia ou Google? Pourquoi?
4. Que faudrait-il apprendre à l’école aux jeunes utilisateurs d’Internet?
II. Écoutez l’émission radio et répondez aux questions suivantes:
1. Pourquoi y a-t-il de plus en plus de jeunes gros en France?
2. Quels sont les produits dont les jeunes ne consomment pas assez?
3. Dans le collège de Sylvie, comment apprend- on aux jeunes à mieux manger?
III. Parlons du logement.
№ 3
I. 1. Lisez l’extrait de la nouvelle et dites en 2 ou 3 phrases quel est son sujet.
En voyage
Marie Baranow était russe, une femme d’une grande beauté, très intelligente. Son médecin depuis plusieurs années la voyait menacée d’une maladie de poitrine, et tâchait de la décider à venir dans le Midi de la France. Mais elle refusait de quitter Pétersbourg. Enfin l’automne dernier le docteur parla à son mari qui ordonna à sa femme de partir pour Menton1.
La nuit tomba, le train roulait à toute vitesse. Énervée, elle ne pouvait pas dormir. Soudain la pensée lui vint de compter l’argent que son époux lui avait remis. Elle ouvrit son petit sac et le vida sur ses genoux. Mais tout à coup un souffle d’air froid lui frappa le visage... Elle leva la tête. La portière venait de s’ouvrir.
Marie jeta brusquement un châle sur son argent et attendit.
Un homme essoufflé, nu-tête entra. Il était blessé à la main. Il referma la porte et tomba sur la banquette d’en face. Il enveloppa d’un mouchoir la main dont le sang coulait... La jeune femme se sentait glacée de peur. Cet homme l’avait vue sans doute compter son argent et il était venu pour la tuer.
— Écoutez-moi, je ne suis pas un voleur... Mais je suis un homme perdu, un homme mort... Et cependant, je n’ai ni tué, ni volé, ni rien fait contre l’honneur. Je vous le jure... Je dois passer la frontière...
Elle demeurait immobile et muette. Ivan, le serviteur de Marie, parut pour prendre ses ordres.
— Ivan, tu dois retourner à Pétersbourg: je n’ai plus besoin de toi, dit Marie d’une voix brusque. Tu resteras en Russie. Tiens, voici de l’argent pour retourner à la maison. Donne-moi vite ton bonnet et ton manteau...
Le vieux domestique obéit, habitué aux caprices des maîtres, et disparut.
— Ces choses sont pour vous, monsieur, dit Marie à l’inconnu. Vous êtes Ivan; mon serviteur. Mais voici ma condition: vous ne me parlerez jamais! Vous ne me remercierez pas!
Le jeune homme s’inclina.
À la frontière Marie tendit les papiers et montrant l’homme assis au fond du wagon, elle dit:
— C’est mon domestque, Ivan, et voici son passeport.
Le train se remit en route.
Pendant toute la nuit tous les deux restèrent en tête à tête, muets. Le lendemain le train arriva à Menton.
D’après Guy de Maupassant
1 Menton — célèbre ville touristique de la Côte d’Azur, située à la frontière franco-italienne.
2. Comment était l’inconnu qui est entré dans le compartiment de Marie Baranow? Trouvez la description et lisez-la à haute voix.
3. Que l’inconnu a-t-il dit à Marie Baranow?
4. À votre avis, pourquoi a-t-elle consenti à l’aider?
II. Écoutez l’interview avec Claire et répondez aux questions suivantes:
1. Qui est Claire?
2. Pourquoi est-elle contre les marques?
3. Quelle est la différence entre l’attitude des ados et des adultes envers les marques?
III. Parlons de l’éducation.
№ 4
I. 1. Lisez l’article du guide touristique et dites en 2 ou 3 phrases quel est son sujet.
Les avantages du Bélarus
Encore à l’écart des parcours du tourisme traditionnel, le pays se présente aux visiteurs dans toute son authenticité. Même si les grandes villes tendent à évoluer rapidement et à s’adapter aux changements, le reste du pays garde l’originalité des villages, des villes et de la population, ainsi que le charme d’une nature vierge. C’est le cas surtout dans les zones rurales où le temps semble ralenti, où la nature comme l’hospitalité des gens et leurs traditions sont préservées. Tout y est spontané et vrai: une nature sauvage et luxuriante, les ravissantes petites maisons des villages de campagne au milieu des forêts, les ruines de châteaux et résidences comme tout droit sorties des contes de fées et de légendes, les gens bienveillants et généreux. Aux marges de l’Europe, bien que géographiquement le Bélarus en soit le centre, ce pays n’est pas loin d’être le plus méconnu des Européens.
Forêts, lacs, fleuves, rivières, plaines à perte de vue et marécages ... Le Bélarus est un vrai paradis de verdure! Plus d’un tiers du territoire est recouvert par des forêts. Surnommée le «pays aux yeux bleus» pour l’abondance de ses lacs, ou encore «le poumon vert» de l’Europe pour les vastes régions marécageuses de la Polésie, le Bélarus saura séduire tous les amoureux de la nature. Riche en parcs et réserves naturelles, ce pays enchante ses visiteurs par la douceur et l’harmonie de ses paysages où l’on trouve une flore variée et une faune presque inexistante dans le reste de l’Europe, tels que des bisons, des loups et une variété ornithologique extraordinaire.
Les Bélarusses sont des gens du Nord. Silencieux, patients, calmes, même s’ils peuvent paraître assez réservés de prime abord, ils dévoilent très vite un grand sens de l’accueil et de la solidarité, se révélant un peuple extrêmement hospitalier et de véritables bons vivants. Partout, vous trouverez des gens prêts à vous aider, à vous indiquer votre chemin et à vous inviter chez eux. On dit des Bélarusses qu’il est presque impossible de les mettre en colère. Ravagé par de nombreuses guerres au fil des siècles, le Bélarus s’est forgé une solide réputation de tolérance et de résistance dont ses habitants sont très fiers.
D’après www.petitfute.com
2. Comment est la nature du Bélarus? Trouvez la description dans le texte et lisez-la à haute voix.
3. Pour quelles qualités les Bélarusses sont-ils appréciés des étrangers?
4. Quels sites bélarusses feriez-vous voir à vos ami(e)s français(es)?
II. Écoutez la conversation entre Élodie et sa mère puis répondez aux questions:
1. Élodie que demande-t-elle à sa mère?
2. Qui va nettoyer la litière du chat?
3. Pourquoi le père peut-il ne pas accepter le chat dans l’appartement?
III. Parlons de l’éducation.
№ 5
I. 1. Lisez l’extrait du roman et dites en 2 ou 3 phrases quel est son sujet.
Une araignée1
La soirée était douce et claire, tante Thérèse avait décidé qu’on dînerait dans le jardin. Tous les habitants de la maison, abandonnant au même moment leurs occupations particulières, se réunirent autour de la table ronde.
Pour Elisabeth, dont les parents mangeaient séparément, à n’importe quelle heure, il était surprenant de voir une famille entière, du grand-père à la petite-fille, assemblée devant la nourriture. Le menu n’était pas extraordinaire, mais elle avait faim et apprécia la blanquette de veau. Le ciel s’obscurcissait lentement. Un vent frais se leva et les feuillages de la tonnelle bougèrent.
— Elisabeth, monte chercher un gilet dans ta chambre, dit tante Thérèse.
Elisabeth traversa le jardin, gravit l’escalier et glissa sur les patins de feutre jusqu’à sa chambre. Elle allait s’avancer vers l’armoire, quand son cœur se crispa et ses jambes fléchirent. Muette d’horreur, elle considérait fixement le mur, en face d’elle. Une énorme araignée noire s’y étalait comme une tache d’encre. Elisabeth poussa une clameur folle, se rua vers la porte, dévala les marches et tomba dans les bras de tante Thérèse. Des figures inquiètes l’entourèrent. Elle reprit son souffle et hoqueta:
— Dans ma chambre… une araignée… une grosse araignée!
Le grand-père et l’oncle Julien dirent:
— Nous t’en débarrasserons en un clin d’oeil de ton araignée!
Le grand-père se proposait de la tuer à coups de pantoufles, mais son gendre avait une autre idée:
— Si nous pouvions la capturer vivante, je la montrerais aux élèves, à la rentrée.
A trois reprises, il colla violemment son verre contre la paroi blanche et nue, mais l’insecte, plus prompt2 que lui, ne se laissa pas coiffer. Il se déplaçait follement, en zigzag, au-dessus du lit et disparut.
— Elle en sortira la nuit! balbutia Elisabeth. Elle se promènera sur moi! Oh! Tante Thérèse! Je ne pourrai pas dormir! Je t’en supplie, fais quelque chose!…
— Voici ce que je propose, dit tante Thérèse. Nous pourrions transporter ton lit dans la chambre de Geneviève. Ainsi, tu ne serais plus seule, tu n’aurais plus peur…
Il était presque dix heures du soir, quand les fillettes purent se coucher. Tante Thérèse les embrassa et éteignit la lampe de chevet en s’en allant.
D’après Henri Troyat, La Grive
1 araignée (f) —
2 prompt, -e = rapide
2. Trouvez le passage qui décrit la rencontre d’Elisabeth avec une araignée. Lisez-le à haute voix.
3. Pourquoi n’a-t-on pas réussi à attraper l’araignée?
4. Quelle solution a-t-on proposée à Elisabeth pour qu’elle n’ait pas peur de dormir?
II. Écoutez l’annonce d’un concours et répondez aux questions:
1. De quel concours s’agit-il?
2. Comment peut-on y participer?
3. Que peut-on gagner?
III. Parlons des médias de masse.